Vers une plus grande sobriété numérique
La meilleure donnée, est celle qui n’a pas été générée, et qui n’a pas été stockée.
L’empreinte carbone de nos entreprises passe aussi par le stockage de nos données, les outils que nous utilisons, les données que nos entreprises peuvent être aggréger ou que d’autres entreprises ont pu agréger pour nous.De la même manière, qu’une taxe de copie privée avait été instaurée pour les périphériques de sauvagarde à l’époque, une taxe écologique pourrait être adjointe aux stockages dans le cloud de nos entreprises.
Les chiffres sont éloquents !
Une plus grande sobriété en ce qui concerne les données collectées
L’union Européenne aura été précurseur à ce sujet, pour le bien des internautes, et au delà de la stupeur générée par certaines prises de décision, et du besoin de réponse immédiat. Il était très certainement temps éthiquement, et écologiquement de limiter l’acuisition et l’aggrégation des données.
DataCenter éco-construits, Énergies renouvellables, Bilan carbone compensé ?
Les normes arriveront, elles imposeront très certainement des ambitions écologiques dans les années qui viennent. Les réponses se construisent déjà, mais clairement les solutions qui associeront hautes-performances, résilience, et éco-compatibilité
Le web 3 est-il compatible avec un numérique plus écologique ?
C’est une question, qui restera une question, et nous nous mettrons personne à dos en y répondant pas, mais ces questions restent primordiales, le web3 est il soutenable écologiquement, au travers des protocoles actuels il ne me semble pas.